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Le scandaleux traitement de faveur de Sylvie Goulard

25 Sep Le scandaleux traitement de faveur de Sylvie Goulard

Communiqué de la délégation RN au Parlement européen

Chargée de contrôler les éventuels conflits d’intérêts des futurs commissaires européens, la commission des affaires juridiques du Parlement européen s’est acquittée de son rôle avec sérieux, à l’exception notable d’un cas : celui de la Française Sylvie Goulard, désignée pour devenir commissaire au marché intérieur.

Alors que cette commission interroge soigneusement les autres futurs commissaires sur les moindres détails de leurs revenus et de leurs patrimoines, elle vient de décider, lors de sa réunion du 25 septembre, qu’il n’y avait pas lieu de demander à Madame Goulard pour quel travail ou service elle avait touché pendant plusieurs années 10 000 euros par mois d’un lobby américain, l’Institut Berggruen, à une époque où elle était député européen.

Il est navrant que les trois principaux groupes politiques (PPE, Socialistes, et centristes de Renew) se soient entendus pour museler ainsi la commission. Il est encore plus regrettable que la présidente de cette commission, la Britannique Lucy Nethsingha, ait couvert cette infamie. Le fait qu’elle appartienne à Renew, comme Sylvie Goulard, n’est sans doute pas étranger à cette attitude.

Gilles Lebreton, coordinateur du groupe Identité et Démocratie au sein de cette commission, a immédiatement quitté la séance en signe de protestation, en annonçant que le RN allait alerter l’opinion publique de ce qui s’est passé : ce que fait ce communiqué.

L’UE prône souvent la transparence comme l’une des valeurs essentielles de la démocratie. Le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne met pas ses actes en accord avec ses paroles !

Les propos tenus sur ce site n'engagent que leur auteur et non pas le Parlement européen.