30 Sep Insécurité : même dans l’Ouest de la France, la barbarie n’a plus de limites !
L’Ouest de la France, longtemps réputé calme, est de plus en plus gangrené par l’extrême violence.
A Bruz, près de Rennes, 200 black blocs ont attaqué le 25 septembre le meeting de Jordan Bardella, blessant gravement l’un des CRS qui les ont repoussés. Quatre jours plus tard, dans la nuit du 29 septembre, c’est la place Sainte-Anne et la place de la mairie, en plein centre de Rennes, qui ont été trasformées en champ de bataille par un commando de l’ultra-gauche, désireux de tester la résistance des forces de l’ordre, dont trois membres ont été blessés.
A Nantes, le 28 septembre, des tirs en rafale ont fauché en plein jour un passant, un jeune homme de 17 ans inconnu des services de police. Le lendemain matin, un corps en partie brûlé a été trouvé dans un parc. Ces événements ne sont pas isolés. Dans son édition du 30 septembre, Presse Océan se fait l’écho en ces termes des propos alarmistes de policiers nantais : « ça tire à tout-va, c’est no limit ».
A Alençon, tout un quartier a été livré à une bande de casseurs la même semaine. 24 véhicules ont été brûlés, dans une ambiance que la presse locale qualifie de « guérilla urbaine ». Le chaos était tel que les forces de l’ordre de l’Orne n’étaient plus suffisantes pour y faire face. Il a fallu faire venir en urgence des renforts du Calvados, de la Sarthe, et même de Toulouse !
On pourrait aussi évoquer bien d’autres villes, comme Brest, en proie à une violence urbaine endémique…
Ces événements sont le résultat d’un ensemble de facteurs bien connus : ensauvagement de la société, immigration incontrôlée, laxisme judiciaire, trafic de drogue… Macron, Darmanin et Dupond-Moretti sont à l’évidence incapables d’y faire face efficacement. Le RN reste donc plus que jamais le principal espoir d’une alternance politique permettant la mise en oeuvre de vraies solutions à l’insécurité.
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